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[Olikatie]

Présidentielle américaine: nouveau bras de fer entre Barack Obama et Hillary Clinton

Les prétendants démocrates à la Maison Blanche, Barack Obama et Hillary Clinton, avaient une nouvelle fois rendez-vous avec leur destin mardi à l'occasion de primaires qui seront âprement disputées dans l'Indiana (nord) et en Caroline du Nord (sud-est).Evènement

Quelle que soit l'issue de ces scrutins, mardi soir, aucun des candidats démocrates n'aura assez de délégués pour obtenir l'investiture. Mais une victoire ou une défaite dans un ou dans ces deux Etats pourraient convaincre des "super délégués" de se ranger ou de prendre leurs distances avec l'un ou l'autre des candidats.

C'est pourquoi malgré la fatigue qui marque le visage des deux candidats, ils ont tous deux fait campagne tambour battant dans l'Indiana et en Caroline du nord.

"J'ai annoncé ma candidature il y a quinze mois. Les bébés nés alors, marchent, parlent aujourd'hui...", a souligné lundi le sénateur de l'Illinois qui a avoué avoir perdu du poids au cours de cette campagne épuisante. Pour son dernier grand meeting dans le centre d'Indianapolis, le candidat a laissé la vedette au roi du groove et légende de la musique noire, Stevie Wonder, qui a fait entonner aux 21.000 spectateurs rassemblés en plein air, sous une pluie battante, les syllabes "ba-rack-o-ba-ma".

"Cette élection a enflammé mon coeur, Barack Obama m'inspire", a fredonné Stevie Wonder avant d'enchaîner des succès comme "Signed, Sealed, Delivered I'm Yours", un des airs qui résonnent dans chaque meeting de M. Obama. Mais la politique a vite repris le dessus. En chemise malgré la pluie, M. Obama se félicitant de sa campagne "positive", a égratigné sa rivale Hillary Clinton condamnant une nouvelle fois le moratoire que la sénatrice de New York propose sur la taxe fédérale sur l'essence pendant les trois mois d'été.

Mme Clinton souhaite que cette taxe de 18,4 cents par gallon (3,78 litres) soit supprimée pour soulager les familles modestes. M. Obama est opposé à cette mesure estimant qu'elle est démagogique et évite d'affronter le problème global de la dépendance énergétique des Etats-Unis. Cette question de la taxe sur l'essence a largement dominé la campagne des primaires en Caroline du Nord et dans l'Indiana.

"C'est votre tour Indiana", a lancé Mme Clinton à ses partisans en concluant sa campagne. Grande favorite de la course à l'investiture démocrate au début de la saison des primaires, puis donnée perdante face à ce qui apparaissait comme une irrésistible ascension de son rival, Mme Clinton est revenue spectaculairement dans le jeu s'adjugeant presque tous les "grands" Etats et remportant notamment ces dernières semaines l'Ohio puis la Pennsylvanie.

"Demain (mardi) sera lourd de conséquences. Chaque élection est importante mais celle-ci à une signification spéciale", a ajouté Mme Clinton invitant les électeurs à envoyer un signal à "ceux qui travaillent dur" pour dire que "vous avez quelqu'un qui vous écoute". Mme Clinton se présente désormais comme "la candidate qui se bat pour les travailleurs".

Forte du soutien que lui ont apporté les ouvriers blancs dans l'Ohio et en Pennsylvanie, Mme Clinton a adopté un ton populiste qualifiant d'"élitiste" son rival. Obama "explique que mon plan pour supprimer la taxe sur les carburants ne rapporterait que 20 dollars. Il dit: +ce n'est que 20 dollars+. Eh bien, pour beaucoup de gens, 20 dollars ça compte, pas vrai?", a-t-elle affirmé.

Les sondages accordent une sensible avance à M. Obama en Caroline du Nord tandis que Mme Clinton est favorite dans l'Indiana. Attribués à la proportionnelle, 72 délégués sont en jeu dans l'Indiana et 115 en Caroline du Nord. Selon le site spécialisé indépendant RealClearPolitics, M. Obama dispose actuellement de 1.747 délégués contre 1.608 pour Mme Clinton. Il faut 2.025 délégués pour obtenir l'investiture.

© 2008 AFP

[Olikatie]

La Californie pour Obama, Clinton gagnerait l'Indiana

Barack Obama est sorti mardi large vainqueur de la primaire démocrate de Caroline du Nord.

Sa rivale Hillary Clinton est créditée au mieux d'une victoire étriquée en Indiana, insuffisante pour retirer à son rival le statut de favori.

M. Obama a rendu hommage à Mme Clinton pour "ce qui semble être sa victoire dans le grand Etat d'Indiana". Il s'est félicité de sa propre victoire en Caroline du Nord, avec une marge s'annonçant considérable: il aurait remporté 91% du vote noir, mais aussi 36% du vote blanc. Après dépouillement de 80% des bureaux de vote, il était crédité de 57% des suffrages (43% pour Mme Clinton), avec une avance de plus de 150.000 voix.

Incertitude

Mme Clinton était créditée de moins de 40 000 voix d'avance en Indiana après dépouillement dans 84% des bureaux de vote avec 52% des voix (contre 48%). Seule la chaîne de télévision CBS se risquait en milieu de soirée à la proclamer vainqueur.

M. Obama a immédiatement lancé un appel à l'unité du parti devant ses partisans en liesse rassemblés à Raleigh, en Caroline du Nord.

"Oui, des deux côtés, certains se sont sentis blessés, oui, chaque camp veut désespérément la victoire de son candidat", a-t-il dit. Il a ensuite lancé un appel à l'unité des démocrates "parce que nous sommes tous d'accord (...) qu'on ne peut pas se permettre de donner (au républicain) John McCain la chance de remplir le troisième mandat de la présidence Bush".

Chiffres

Barack Obama va renforcer son avance sur Mme Clinton en nombre de délégués du parti démocrate, chargés de désigner officiellement un candidat à la convention nationale fin août à Denver. Les primaires de mardi, marquées par une forte participation, devaient répartir à la proportionnelle 72 délégués pour l'Indiana, 115 pour la Caroline du Nord.

Le sénateur de l'Illinois était déjà crédité mardi matin de 1738 délégués par le site indépendant RealClearPolitics, contre 1606 pour Mme Clinton, encore loin des 2025 indispensables pour s'adjuger l'investiture. M. Obama a affirmé qu'après mardi, il lui restait moins de 200 délégués à conquérir pour l'emporter.

Les sondages sortie des urnes ont révélé la profonde division des électeurs démocrates: seuls 48% des partisans de Mme Clinton en Indiana, 45% en Caroline du Nord, se sont dits prêts à voter Obama s'il était choisi pour affronter le républicain John McCain le 4 novembre.

Les équipes de Mme Clinton et de M. Obama devraient s'appuyer sur les résultats de mardi pour tenter d'attirer à leur cause près de 270 élus et cadres du parti encore indécis, les "super délégués" habilités de droit à se prononcer sur le choix d'un candidat à Denver.

Source: SDA/ATS

[MFC]

les flicards blancs americains sont vraiment cons
Passage à tabac aux Etats-Unis



Grave erreur de jugement à Philadelphie

Une grave erreur de jugements de policiers américains est en train de mettre Philadelphie et l'Amérique entière en émoi. Ce mardi, croyant avoir interpellé les auteurs du meurtre d'un de leurs collègues, les policiers les ont passé à tabac et roué de coups. Par la suite, il s'est avéré qu'il ne s'agissait pas des bons individus. Il reste à espérer qu e cette affaire ne cause pas des émeutes et des affrontements urbains comme cela avait déjà été le cas à Los Angeles dans le début des années 90.

la video : http://www.youtube.com/watch?v=B2vcISNbqWw

degoutant et revoltant

[Olikatie]

Barack Obama affirme qu'il pourra se déclarer vainqueur le 20 mai

"Si à ce stade nous avons la majorité des délégués élus, ce qui est possible, alors je crois que nous aurons des arguments assez forts pour dire que nous avons gagné le plus (de consultations) et que c'est (la fin du match) et que nous avons gagné", indique le candidat à l'investiture démocrate.

Barack Obama a affirmé jeudi 8 mai qu'il pensait pouvoir se déclarer vainqueur de l'investiture démocrate pour la présidentielle américaine dès le 20 mai.
"Si à ce stade nous avons la majorité des délégués élus, ce qui est possible, alors je crois que nous aurons des arguments assez forts pour dire que nous avons gagné le plus (de consultations) et que c'est (la fin du match) et que nous avons gagné", a indiqué Barack Obama à la chaîne NBC.
Depuis son importante victoire en Caroline du Nord (sud-est) mardi et une défaite honorable en Indiana, les médias voient Barack Obama comme le candidat présumé du parti démocrate, même si les dernières primaires n'auront lieu que le 3 juin, et que sa rivale Hillary Clinton poursuit sa campagne sans se décourager.

Plus que 33 délégués

Les prochaines étapes auront lieu mardi en Virginie occidentale (est), un petit Etat rural que Barack Obama considère perdu d'avance, puis, le 20 mai, en Oregon (nord-ouest) et au Kentucky (centre-est). 131 délégués seront répartis à la proportionnelle dans ces trois Etats.
Selon l'équipe de Barack Obama, il n'a plus que 33 délégués à gagner dans les primaires pour atteindre le chiffre de 1.606, représentant la majorité absolue des délégués du parti démocrate désignés lors de consultations électorales.
Barack Obama dispose au total, du soutien de 1.850 délégués du parti démocrate, y compris 261 "super-délégués", ces élus et cadres du parti habilités à choisir le candidat de leur choix, selon le site indépendant RealClearPolitics. Il en faut 2.025 être investi.

[MFC]

tu sais olikatie parait que les democrate a force de se divisier entre un bon gars et une cocue ce sera les republicains qui gagneront, tu en penses quoi ?

[Olikatie]

que ça sera malheureusement McCain le prochain président des US... à moins d'un miracle... et si c'est le cas, chapeau bas aux américains!

[Denis]

que ça sera malheureusement McCain le prochain président des US... à moins d'un miracle... et si c'est le cas, chapeau bas aux américains!

oh un miracle j'irais pas jusque là, mais Clinton a intérêt de se décider quand même. Je crois toujours qu'Obama va gagner.

[MFC]

bon, ben parlons de Bush tant qu'il est encore president alors

Bush marie sa fille discrètement, chez lui au Texas (11/05/2008 14:47)

S'évadant pour quelques heures des crises internationales et économiques, le président américain George W. Bush a marié discrètement sa fille Jenna samedi, dans son ranch texan de Crawford, en compagnie de 200 proches et amis. Le mariage a été célébré en présence d'un pasteur de Houston, Kirbyjon Caldwell, qui a récemment annoncé son soutien à Barack Obama, candidat à l'investiture démocrate pour l'élection présidentielle de novembre. "C'est un ami de la famille", a dit de lui la responsable de presse. Jenna Bush, 26 ans a, à en croire ses parents, décidé elle-même de renoncer à des épousailles en grande pompe à la Maison Blanche, préférant s'unir en famille à Henry Hager, 30 ans, le fils d'un ancien patron du parti républicain en Virginie (est). Les jeunes fiancés ont échangé leurs voeux en début de soirée au pied d'une grande croix de pierre calcaire du Texas faisant office d'autel, que M. Bush a fait ériger près d'un lac sur sa vaste propriété de 850 hectares. (DEC)

[Olikatie]

Hillary Clinton: et ça repart!

Derrière Obama, mais toujours déterminée, Hillary Clinton reste dans la course après sa large victoire en Virginie-Occidentale.

Ce succès annoncé ne remet toutefois pas en question l'avance de son rival Barack Obama.

Selon des résultats portant sur 58% des bureaux de vote, Mme Clinton était créditée de 65% des voix contre 27% pour Barack Obama. «Cette course n'est pas encore terminée», a lancé Mme Clinton à Charleston, affirmant que sa victoire avait «presque un goût de paradis».

«Je suis plus décidée que jamais à poursuivre cette campagne jusqu'à ce que tout le monde ait eu l'opportunité d'exprimer sa voix», a-t-elle déclaré lors d'un discours très combatif. «Je peux remporter cette nomination si vous le décidez, et je peux mener ce parti à la victoire dans l'élection présidentielle», a-t-elle assuré.

Alors que la candidate est lourdement endettée, elle a tendu clairement la main à ses supporters, les invitant à la soutenir financièrement en allant sur son site internet.

Electorat blanc, modeste

Selon des sondages à la sortie des urnes, Mme Clinton a massivement bénéficié du vote de l'électorat blanc (68% contre 28% pour M. Obama). Les électeurs d'origines modestes gagnant moins de 50 000 dollars par an ont également soutenu massivement Mme Clinton (72% contre 24%).

Mme Clinton estime qu'elle est la seule à pouvoir rassembler cet électorat crucial pour les démocrates dans la perspective de l'élection présidentielle de novembre face au républicain John McCain.

Barack Obama avait concédé sa défaite dès lundi tant les sondages étaient favorables à Mme Clinton. Ce résultat ne modifie toutefois pas le rapport de force en faveur du sénateur de l'Illinois.

Super-délégués décisifs

Selon le site realclearpolitics.com, M. Obama devance Mme Clinton de 177 délégués appelés à voter lors de la convention démocrate, fin août. Un total de 28 délégués, attribués à la proportionnelle, étaient en jeu en Virginie occidentale.

Aucun des deux candidats n'est en mesure de rassembler avant la convention les 2025 délégués nécessaires pour obtenir l'investiture.

Les cinq primaires prévues d'ici le 3 juin attribueront au total 189 délégués. Si Mme Rodham Clinton est favorite au Kentucky et à Porto Rico, M. Obama est donné gagnant en Oregon (nord-ouest), au Montana (nord-ouest) et au Dakota du Sud (nord).

Les super-délégués, libres de voter pour le candidat de leur choix lors de la convention, seront donc décisifs. Là aussi, M. Obama revendique davantage de supporters que Mme Clinton. De nombreuses voix se sont ainsi élevées au Parti démocrate en faveur d'un retrait de Mme Clinton afin d'unifier le parti avant le duel contre John McCain.


Source: SDA/ATS

[Olikatie]

Barack Obama reçoit un soutien de fer

Le favori à l'investiture démocrate Barack Obama a reçu mercredi le soutien de son ex-rival dans la course à la Maison Blanche John Edwards.



Cet appui est un coup dur pour Hillary Clinton, malgré sa large victoire en Virginie-Occidentale.

«Il y a un homme. Il y a un homme qui sait et comprend que le temps est venu pour une gestion audacieuse du pays. Il y a un homme qui sait comment générer le changement, le changement durable qu'il faut bâtir à partir de la base. Il y a un homme qui sait dans son coeur que le temps est venu de créer une Amérique et non deux. Et cet homme c'est Barack Obama», a dit M. Edwards au cours d'une réunion publique à Grand Rapids (Michigan, nord) au côté de M. Obama.

L'ancien sénateur de Caroline du Nord a assuré que la course à l'investiture serait «bientôt» terminé et rendu un hommage appuyé à Mme Clinton s'attirant quelques sifflets du public vite réduits après un geste apaisant de M. Obama à l'adresse de ses partisans.

Tribun des classes moyennes, John Edwards fait partie d'une poignée de personnalités influentes, avec notamment l'ancien vice- président Al Gore, dont le soutien pourrait être déterminant pour décrocher l'investiture. Proche des syndicats ouvriers, M. Edwards est extrêmement populaire chez les ouvriers blancs, une catégorie d'électeurs qui fait défaut à M. Obama.

Arrivé second des «caucus» de l'Iowa derrière M. Obama mais devant Mme Clinton et troisième dans les autres consultations jusqu'à son retrait de la course, le 30 janvier, M. Edwards a engrangé 18 délégués. Il pourrait leur demander de se ranger derrière le sénateur de l'Illinois.

«Super délégués» pour Obama

Sur les six candidats en lice pour l'investiture démocrate au début des primaires, à l'exception de lui-même et de Mme Clinton, M. Obama a reçu le soutien de quatre ex-rivaux. Joe Biden ne s'est pas encore prononcé et Mike Gravel a quitté le parti démocrate pour le parti libertarien.

M. Obama a reçu par ailleurs mercredi l'appui de cinq «super délégués», des élus et responsables du parti démocrate dont les voix seront cruciales dans le choix du candidat qui affrontera le républicain John McCain en novembre. En comparaison, ce même jour, Mme Clinton a reçu l'appui d'un seul.

Ratissant très large, M. Obama a obtenu par ailleurs l'appui du Naral, la plus importante organisation de défense du droit à l'avortement aux Etats-Unis, et de trois anciens présidents de la SEC, l'autorité américaine de régulation des marchés, dont William Donaldson, ancien membre de l'administration sous Ronald Reagan et président de la SEC de 2003 à 2005 pendant le mandat de George W. Bush.

Etats pas pris en compte

Mme Clinton a largement gagné mardi la primaire de Virginie- Occidentale avec 67% des voix contre seulement 26% pour M. Obama. Jamais depuis le début des primaires, elle n'avait réalisé un score aussi élevé.

Selon le site indépendant RealClearPolitics (RCP), M. Obama dispose actuellement de 1885 délégués contre 1718 pour Mme Clinton. Il faut 2025 délégués pour obtenir l'investiture du parti démocrate. Il reste 189 délégués à attribuer d'ici le 3 juin.

Les derniers espoirs de Mme Clinton reposent sur la prise en compte des délégués de Floride et du Michigan, deux Etats qu'elle a remportés mais dont les résultats ont été invalidés par la direction du parti démocrate parce que les primaires ont eu lieu avant la date autorisée.


Source: SDA/ATS

[Oceans]

Je suis pour Obama, mais l'histoire des résultats invalidés parce que obtenus avant la date légale (Floride et Michigan) me paraît extravagante.
Comment un grand parti peut se gourer dans les dates ???

[Olikatie]

Irak : McCain promet la victoire en 2013

A l'horizon 2013, "la guerre en Irak aura été gagnée", a assuré le candidat républicain, avant d'ajouter : "la guerre civile aura été évitée, les milices dissoutes, les forces de sécurité irakiennes seront professionnelles et compétentes, Al-Qaïda en Irak aura été battu".



La guerre en Irak sera gagnée d'ici 2013 et le chef d'Al-Qaïda, Oussama ben Laden, aura été capturé ou sera mort à cette date, a promis, jeudi 15 mai, le candidat républicain à la Maison Blanche John McCain, dans un discours sur les "objectifs" de sa présidence s'il était élu.
"D'ici à janvier 2013, l'Amérique aura rapatrié la plupart de ses soldats qui se sont sacrifiés terriblement pour que l'Amérique soit plus sûre et conserve sa liberté", a dit le sénateur de l'Arizona dans un discours prononcé à Columbus (Ohio, nord) et dont des extraits ont été diffusés en avance aux rédactions.
"La guerre en Irak aura été gagnée", a-t-il assuré. La violence ne sera plus que "sporadique" et aura été "considérablement réduite". "La guerre civile aura été évitée, les milices dissoutes, les forces de sécurité irakiennes seront professionnelles et compétentes, Al-Qaïda en Irak aura été battu", a ajouté le sénateur de l'Arizona.

Pendant 100 ans s'il le faut

Seul candidat favorable à la poursuite de la guerre en Irak, John McCain a récemment suggéré que des soldats américains pourraient rester en Irak pendant encore 100 ans sur le modèle de ce qui s'est produit à la fin de la Seconde guerre mondiale en Allemagne ou au Japon, ou encore en Corée du Sud depuis la fin de la Guerre de Corée.
Les deux prétendants démocrates à la Maison Blanche Barack Obama et Hillary Clinton ont promis de retirer les soldats américains d'Irak à partir de 2009.
Dans son discours de Columbus, John McCain a précisé qu'il envisageait "une présence militaire" américaine en Irak au début de 2013 -à la fin de son éventuel premier mandat à la Maison Blanche, mais "plus petite" qu'actuellement et les soldats américain "ne seront pas directement engagés dans des opérations de combat".
Il y a 158.000 soldats américains en Irak en ce moment.

[Olikatie]

La Californie légalise le mariage homosexuel

En donnant raison à plusieurs plaignants, qui affirmaient que la définition du mariage par le code civil comme une union entre un homme et une femme est discriminatoire, le verdict de la Cour suprême de Californie pourrait avoir des conséquences nationales.

La Cour suprême de Californie (ouest) a ouvert la voie jeudi 15 mai aux mariages entre homosexuels dans l'Etat américain le plus peuplé, une décision historique qui pourrait avoir des conséquences dans l'ensemble des Etats-Unis.
Dans un avis adopté par quatre voix contre trois, les magistrats ont donné raison à plusieurs plaignants, dont la ville de San Francisco, qui affirmaient que la définition du mariage par le code civil comme une union entre un homme et une femme était discriminatoire.

Suite de l'article

[MFC]

Obama se sent visé par George Bush

(15/05/2008)

Le candidat démocrate se serait vu reprocher un discours trop laxiste face aux terroristes

WASHINGTON Le candidat à l'investiture démocrate pour la Maison Blanche Barack Obama a dénoncé jeudi "une attaque politicienne" de George W. Bush dans laquelle il s'est senti personnellement visé et qui accusait implicitement les démocrates de faiblesse face aux terroristes.

"Certains estiment que nous devrions négocier avec les terroristes et les extrémistes comme si des arguments astucieux pouvaient les persuader qu'ils se trompaient depuis le début", a dit M. Bush dans un discours à la Knesset à l'occasion du 60e anniversaire de l'Etat d'Israël. "Nous avons déjà entendu ce genre de folles illusions avant", a ajouté M. Bush, comparant le dialogue avec les terroristes à des négociations avec Hitler avant la Seconde guerre mondiale.

M. Obama s'est senti directement visé et a immédiatement contre-attaqué. "Il est navrant de constater que le président Bush utilise un discours devant la Knesset à l'occasion du 60e anniversaire d'Israël pour lancer une attaque politicienne infondée", a déclaré le sénateur de l'Illinois dans un communiqué. "George W. Bush sait que je n'ai jamais soutenu le dialogue avec les terroristes", a ajouté M. Obama.

Le sénateur de l'Illinois s'est dit prêt, s'il est élu président, à des discussions directes avec les dirigeants de pays comme l'Iran, la Syrie, Cuba ou le Venezuela. Mais, a-t-il précisé, il n'a pas l'intention d'engager le dialogue avec des organisations considérée comme terroristes comme le Hamas ou le Hezbollah.

La Maison Blanche a indiqué que le président Bush ne visait pas spécifiquement le prétendant démocrate à sa succession, Barack Obama, mais qu'il ne l'excluait pas non plus lorsqu'il a accusé de complaisance ceux qui recommandaient de parler aux extrémistes. M. Bush faisait "référence à toute une série de personnes qui ont suggéré que parler avec les terroristes et ceux qui les soutiennent était la bonne chose à faire", a dit un porte-parole de la Maison Blanche, Gordon Johndroe. "Cela ne fait référence à aucune personne en particulier, et cela n'exclut personne", a-t-il souligné.

Interrogée spécifiquement pour savoir si M. Bush visait Obama, la porte-parole de la Maison Blanche Dana Perino a répondu: "Non". Mais, a-t-elle ajouté aussitôt, "il y a beaucoup de gens qui ont suggéré de négocier avec des gens (les terroristes, ndlr) avec lesquels le président Bush pense qu'il ne faut pas parler".

Ce n'est pas la première fois que M. Obama est suspecté d'être trop accommodant avec les extrémistes. Le mois dernier, le candidat républicain John McCain avait accusé son adversaire d'être "le candidat favori du Hamas".
"Je pense que les gens doivent comprendre que je serai le pire cauchemar du Hamas. Si le sénateur Obama est le favori du Hamas je crois que les gens peuvent faire leur choix selon ce critère", avait dit M. McCain. En campagne jeudi dans l'Ohio, le sénateur de l'Arizona n'a pas fait de commentaires sur les propos de M. Bush mais, pour la première fois, a fixé une échéance sur la fin de la guerre en Irak, affirmant qu'elle serait "gagnée" à la fin de son éventuel premier mandat en janvier 2013.
D'ici là, "l'Amérique aura rapatrié la plupart de ses soldats qui se sont sacrifiés terriblement pour que l'Amérique soit plus sûre et conserve sa liberté", a dit M. McCain qui a également promis que le chef d'Al-Qaïda Oussama ben Laden serait mort ou capturé à cette date.

Seul candidat favorable à la poursuite de la guerre en Irak, M. McCain a récemment suggéré que des soldats américains pourraient rester en Irak pendant encore 100 ans sur le modèle de ce qui s'est produit à la fin de la Seconde guerre mondiale en Allemagne ou au Japon.
Les deux prétendants démocrates à la Maison Blanche, Barack Obama et Hillary Clinton, ont promis de retirer les soldats américains d'Irak à partir de 2009.


bref, comment un gars si génial et tellement aux antipodes des americains pourrait etre élu ? mystere

[Moonskin]

En parlant d'Obama, je regardais hier un vieux Raw enregistré (un show de catch).

Vous savez surement que c'est une tradition d'amener aux shows des pancartes à brandir pendant les matches (genre Game Over, Hardy rulz ou eat at Joe's ...) et, tandis que Shawn Michaels nous servait un de ces interminables et insipides discours si chers à la WWE, j'ai aperçu une pancarte "Vote Obama" juste à côté de son oreille droite pendant une seconde à peine ... et oh, surprise ! pendant tout le reste de la "prestation" de MIchaels, la pancarte était floutée - donc illisible ! je n'y connais que pouic en législation américaine, c'est illégal de faire de la propagande électorale maison ? ou c'est juste de la censure comme quand on coupe "accidentellement" certains propos publics ?

[Denis]

En parlant d'Obama, je regardais hier un vieux Raw enregistré (un show de catch).

Vous savez surement que c'est une tradition d'amener aux shows des pancartes à brandir pendant les matches (genre Game Over, Hardy rulz ou eat at Joe's ...) et, tandis que Shawn Michaels nous servait un de ces interminables et insipides discours si chers à la WWE, j'ai aperçu une pancarte "Vote Obama" juste à côté de son oreille droite pendant une seconde à peine ... et oh, surprise ! pendant tout le reste de la "prestation" de MIchaels, la pancarte était floutée - donc illisible ! je n'y connais que pouic en législation américaine, c'est illégal de faire de la propagande électorale maison ? ou c'est juste de la censure comme quand on coupe "accidentellement" certains propos publics ?

Nan, c'est juste Vince qui veut que McCain soit élu

A mon avis, c'est pour ne pas que ça soit considéré comme de la pub, sais pas...

[Olikatie]

Barack Obama revendique la majorité des délégués

Barack Obama a revendiqué mardi la majorité absolue des délégués du parti démocrate élus lors des primaires l'opposant à Hillary Clinton.

Une "étape majeure", selon lui, dans sa course à la Maison Blanche.

"Les bureaux de vote ont fermé dans le Kentucky et le dépouillement est en cours dans l'Oregon, et il est clair que ce soir nous avons franchi une étape majeure", a écrit M. Obama dans un courriel à ses partisans: "nous avons conquis la majorité absolue de tous les délégués choisis par les électeurs dans ce processus des primaires démocrates".

M. Obama devrait, au terme des primaires de mardi dans le Kentucky (centre-est) et dans l'Oregon (nord-ouest), capitaliser largement plus de la moitié (1.627) des 3.253 délégués en jeu dans les primaires. Il comptait déjà avant ces scrutins 1.610 de ces délégués, selon le site internet indépendant RealClearPolitics.

Toutefois il faut avoir gagné le soutien d'au moins 2.026 délégués du parti démocrate au total pour s'assurer de l'investiture, en gagnant aussi le soutien de "super-délégués", des cadres et élus du parti libres d'endosser le candidat de leur choix.

C'est pourquoi il n'a pas officiellement revendiqué la victoire, tandis que son adversaire Hillary Clinton, sortie largement victorieuse de la primaire du Kentucky, a promis de continuer à se battre.

"Nous devons encore travailler dans les Etats (où des primaires doivent encore être organisées), où nous nous battrons pour tous les délégués possibles", a souligné M. Obama dans son courriel.


Source: SDA/ATS

+

Obama vainqueur dans l'Oregon, selon les médias

Barack Obama a remporté mardi la primaire démocrate organisée dans l'Oregon (nord-ouest) face à sa rivale Hillary Clinton, selon plusieurs chaînes de télévision américaines.

Il conforte ainsi son avance dans la course à la Maison Blanche.

Selon les chaînes CNN, Fox et NBC, le sénateur de l'Illinois a battu l'ex-Première dame, comme l'avaient prédit les instituts de sondage. Peu avant, les médias américains, sur la base de projections, avaient donné Hillary Clinton gagnante dans le Kentucky (centre-est).

Dans la soirée, Barack Obama avait revendiqué la majorité absolue des délégués du parti démocrate élus lors des primaires l'opposant à Hillary Clinton. "Il est clair que ce soir nous avons franchi une étape majeure", a écrit M. Obama dans un courriel à ses partisans: "Nous avons conquis la majorité absolue de tous les délégués choisis par les électeurs dans ce processus des primaires démocrates".

M. Obama devait capitaliser largement plus de la moitié (1.627) des 3.253 délégués en jeu dans les primaires. Il comptait déjà avant ces scrutins 1.610 de ces délégués, selon le site internet indépendant RealClearPolitics (RCP).

Toutefois il faut avoir gagné le soutien d'au moins 2.026 délégués du parti démocrate au total pour s'assurer de l'investiture, en gagnant aussi le soutien de "super-délégués", des cadres et élus du parti libres d'endosser le candidat de leur choix.

Dans le Kentucky, 51 délégués, attribués à la proportionnelle, étaient en jeu, et 52 dans l'Oregon.

Source: SDA/ATS

+

Hillary Clinton devance Barack Obama dans le Kentucky

Hillary Rodham Clinton a remporté une victoire attendue, mais largement symbolique, lors de la primaire démocrate du Kentucky, l'un des deux Etats où l'on votait mardi.

Mais cette victoire ne semblait pas devoir entraver la marche quasi inexorable de son rival Barack Obama vers l'investiture démocrate pour l'élection présidentielle de novembre.

Les deux candidats démocrates s'affrontaient également mardi dans l'Oregon où la primaire prenait la forme d'un vote par correspondance. Obama s'attendait à terminer la soirée en ayant franchi la barre de la majorité des délégués en jeu dans la totalité des 56 primaires et caucus du calendrier électoral démocrate.

Hillary Clinton recueillait 51% des voix contre 46% à Barack Obama, selon de premiers résultats partiels du Kentucky.

Source: AP

[Oceans]

je n'y connais que pouic en législation américaine, c'est illégal de faire de la propagande électorale maison ?

Je pense que c'est la WWE qui ne veut pas se couper d'une partie du public en fonction du vote de celui-ci...
Politically correct !

[Olikatie]

Ellen DeGeneres a reçu le candidat Républicain John Mc Cain qui est contre le mariage gay.

Elle a tenté de le convaincre qu'elle était "une femme comme les autres".

Le candidat était visiblement très mal à l'aise sur le plateau...

http://www.dailymotion.com/video/x5ioge ... ariag_news

[Olikatie]

Hillary Clinton gaffe en évoquant l’assassinat d’Obama

La dernière remarque cynique de Hillary Clinton soulève des vagues. «Il y a des tabous en politique, et celui-ci est l’un des plus grands, écrit ce week-end une éditorialiste du Washington Post. Invoquer le spectre de l’assassinat d’un rival, même sans avoir l’intention de le faire […] donne l’impression qu’on attend une tragédie, même si ce n’est pas le cas. C’est presque l’aveu d’un désir dissimulé.»

Théorie du complot. L’épisode remonte à vendredi : des journalistes de Sioux Falls, dans le Dakota du Sud, demandent à Hillary Clinton pourquoi elle reste dans la course, alors même que ses chances de l’emporter sont infimes. La candidate rétorque qu’il n’y a pas de raison de s’impatienter. Son mari Bill, lors des primaires de 1992, n’a été investi par le parti qu’au cours du mois de juin, fait-elle remarquer en ajoutant «et on se souvient tous que Bobby Kennedy a été assassiné en juin en Californie» (en 1968, alors qu’il était candidat aux primaires). Après que le New York Post en eut fait la une de son site Internet, le lapsus a vite fait le tour du monde. Indulgent, Barack Obama a préféré mettre cette «gaffe inconsidérée» sur le compte de la fatigue éprouvée par sa rivale pour l’investiture démocrate. Hillary Clinton, pour sa part, s’est excusée en regrettant avoir «pris pour référence» ce «moment traumatisant pour la nation tout entière».

Alors que le sénateur de l’Illinois est sur le point d’obtenir l’investiture du Parti démocrate, beaucoup de ses partisans se frottent les yeux et appréhendent un attentat. Le candidat, qui aurait reçu des menaces de mort dont on ne connaît pas la nature exacte début 2007, est depuis lors protégé par les services secrets. Certains qu’il risque sa peau, des inconditionnels refusent de voter pour lui… «afin de lui sauver la vie». Cette théorie du complot, répandue dans la communauté noire, s’appuie sur l’histoire récente qui a vu trois de ses grands hommes politiques assassinés (Martin Luther King, John et Bobby Kennedy), et plusieurs tentatives déjouées (Ronald Reagan en 1981, Gerald Ford en 1975, Richard Nixon en 1974).

«Ticket». Hillary Clinton ne pouvait ignorer ce contexte. «C’est pourquoi ça pose des tas de questions sur sa capacité de jugement et ses motivations», estime Merle Black, un professeur de sciences politiques. Pour Stephen Hess, analyste de l’Institut Brookings, la bévue de Hillary met un terme à l’idée, mauvaise dès le départ selon lui, d’un «ticket» électoral Obama-Clinton.