Re: Le topic Actualité générale
Publié : Mer Juil 14, 2010 3:42 pm
Une professeure britannique n’a pas survécu à son orgasme. Elle est décédée d’une crise cardiaque.
«L’excès de plaisir lui a provoqué une crise cardiaque». Le médecin légiste Alan Crickmore explique ainsi les raisons du décès suspect de Nichola Paginton, une enseignante anglaise âgée de 30 ans. Grâce à la précision de ses analyses, le tribunal de Gloucestershire, dans le sud-ouest de l’Angleterre, a pu faire la semaine dernière toute la lumière sur la mort de la jeune femme.
La professeure avait été retrouvée sans vie à son domicile au mois d’octobre dernier. Son employeur, Sarah Griffiths, l’avait trouvée à moitié nue sur son lit, un vibromasseur à portée de main et un ordinateur contenant du matériel pornographique sur ses genoux.
On privilégiait alors plutôt la thèse d’abus d’anti-dépresseurs que la femme prenait suite à une rupture sentimentale. Mais les analyses ont prouvé que l’infarctus est dû au fort taux d’excitation de la jeune femme, qui souffrait sans aucun doute déjà de problèmes cardiaques. «Chez les individus qui ont des anomalies cardiaques, n’importe quel effort peut causer la mort», a expliqué Richard Jones, le médecin traitant de l’enseignante.
(atk)
«L’excès de plaisir lui a provoqué une crise cardiaque». Le médecin légiste Alan Crickmore explique ainsi les raisons du décès suspect de Nichola Paginton, une enseignante anglaise âgée de 30 ans. Grâce à la précision de ses analyses, le tribunal de Gloucestershire, dans le sud-ouest de l’Angleterre, a pu faire la semaine dernière toute la lumière sur la mort de la jeune femme.
La professeure avait été retrouvée sans vie à son domicile au mois d’octobre dernier. Son employeur, Sarah Griffiths, l’avait trouvée à moitié nue sur son lit, un vibromasseur à portée de main et un ordinateur contenant du matériel pornographique sur ses genoux.
On privilégiait alors plutôt la thèse d’abus d’anti-dépresseurs que la femme prenait suite à une rupture sentimentale. Mais les analyses ont prouvé que l’infarctus est dû au fort taux d’excitation de la jeune femme, qui souffrait sans aucun doute déjà de problèmes cardiaques. «Chez les individus qui ont des anomalies cardiaques, n’importe quel effort peut causer la mort», a expliqué Richard Jones, le médecin traitant de l’enseignante.
(atk)