JO d'hiver 2014: ce sera Sotchi

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JO d'hiver 2014: ce sera Sotchi

Finalement, c'est Sotchi la russe qui a remporté la mise. Le CIO devait départager la ville du Caucase et Salzbourg l’autrichienne ou Pyeongchang la coréenne pour l'organisation des 22e JO d'hiver, qui auront lieu en 2014. Le Comité international olympique était réuni ce mercredi à Guatemala. Résumé de la journée.

Une heure pour convaincre

Les trois villes candidates ont passé leur grand oral. Elles ont eu une heure pour tenter de convaincre les indécis en s'appuyant sur leurs points forts et en tentant de corriger les carences relevées par la Commission d'évaluation qui a publié son rapport il y a un mois.

Construire de toutes pièces

Sotchi, station balnéaire des bords de la mer Noire, a reçu l'appui de Vladimir Poutine. Le président russe a délivré pour l'occasion le premier discours en anglais de sa carrière. Il a répété l'engagement du Kremlin à garantir les 12 milliards de dollars nécessaires à la construction de la quasi totalité des infrastructures olympiques.

La tradition autrichienne

Salzbourg, qui s'appuie à l'inverse sur une forte tradition en matière d'organisation d'événements sportifs hivernaux, devait en revanche rassurer les membres du CIO sur la sécurité, un des points faibles de la candidature autrichienne. «L'Autriche est le pays le plus sûr du monde», a ainsi déclaré le Chancelier Alfred Gusenberg. Une façon de stigmatiser ses concurrentes: Sotchi, située à quelques centaines de kilomètres de la Tchétchénie, ou Pyeongchang, ville de l'unique province coréenne à être coupée par le 38e parallèle, frontière avec la Corée du nord. L'Autriche, patrie du ski, n'a plus accueilli les JO depuis 1976, à Innsbruck.

Alberto Tomba en vedette coréenne

Pyeongchang, enfin, voulait faire fructifier l'excellente note que la Commission d'évaluation avait accordée à son dossier, loué notamment pour ses qualités techniques. Pour emporter la mise, les Sud-Coréens se sont effacés derrière l’ex-champion de ski alpin italien, Alberto Tomba, vedette de leur film de présentation

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J0-2018: Annecy, Gap et Grenoble alliées pour une candidature française



Trois villes des Alpes, Annecy, Gap et Grenoble, se sont regroupées en association pour défendre auprès du Comité national olympique et sportif français (CNOSF) une candidature française aux jeux Olympiques d'hiver 2018.

"La Montage pour 2018", présidée par Pierre Mazeaud, ancien président du Conseil constitutionnel, avec comme vice-présidents les maires de ces trois villes, entend simplement "promouvoir la candidature d'une ville française" à ces Jeux, avant, en cas de succès, de se dissoudre.

Elle s'appuie notamment sur un sondage, réalisé les 27 et 28 juin 2007 auprès d'un échantillon national représentatif de la population française indiquant que 85% (des 1044 personnes interrogées par le CSA; 11% ayant répondu non et 4% ne se prononçant pas) sont favorables à une telle candidature.

Au lendemain de la désignation par le Comité international olympique (CIO) de la ville de Sotchi (Russie) pour organiser les Jeux de 2014, les maires de ces trois villes ont estimé que cela constituait plutôt un atout, malgrè le principe non-écrit de la rotation des continents pour l'organisation des Jeux.

"Si ça avait été Salzbourg, ça aurait été autrement plus difficile. Je me réjouis donc du choix de Sotchi", a déclaré Pierre Mazeaud (78 ans), un ancien alpiniste qui fit partie de la première expédition française à atteindre l'Everest le 15 octobre 1978.

Pour Michel Destot, député-maire (PS) de Grenoble, c'est doublement positif car "Sotchi ne sera pas une ville concurrente en 2018 et que les Jeux d'été de 2016 et 2020 ne devraient pas être attribués à une ville européenne".

Selon le maire d'Annecy, dont la ville s'était déjà essayée à être candidate pour les Jeux de 2014 (sans être suivie par le CNOSF), Jean-Luc Rigaut (UDF), "la candidature d'une ville française pour 2018 permettrait de renouer les liens avec la famille olympique (après l'échec de la candidature de Paris aux Jeux de 2012)".

Le maire de Gap, Roger Didier (Radical) a souligné que c'était "la première fois qu'une ville des Alpes du Sud s'engageait avec des villes des Alpes du Nord pour soutenir un projet faisant place à l'écologie et au développement durable".

Alain Méthiaz, président de la Fédération française de ski (FFS), a affirmé de son côté qu'une candidature française devait d'abord "mettre en avant l'athlète, le sport et la performance", avant de permettre d'améliorer les infrastructures des stations de ski. "Il faudra, si le CNOSF accepte une candidature française, un projet lisible avec du sens et du coeur. Et une obligation de résultat", a-t-il souligné.

En attendant que le CNOSF se prononce, d'ici à la fin de l'année, sur l'opportunité d'une candidature françaises à ces Jeux, 67 champions dont Carole Montillet, Florence Masnada et Edgar Grospiron, soutiennent déjà "La Montagne pour 2018".

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Pour mémoire, Grenoble a déjà organisé les Jeux Olympiques d'hiver en 1968:







Jean-Claude Killy obtient la médaille d'or dans toutes les épreuves de ski alpin.
Le héros national Jean-Claude Killy s’imposa dans les épreuves de ski alpin messieurs, mais seulement après la plus grande controverse de l’histoire des Jeux Olympiques d’hiver. En effet, son rival, Karl Schranz, prétendait qu’un homme mystérieux vêtu de noir avait traversé la piste devant lui durant le slalom, l’obligeant à déraper pour s’arrêter. Après un nouveau départ, Schranz fit un meilleur temps que Killy, mais un jury d’appel le disqualifia et donna la victoire au Français.

La skieuse Marielle Goitschel remporte le slalom et succède à sa sœur Christine au palmarès des jeux olympiques.

Les jeux de Grenoble furent les premiers à être retransmis en couleurs à la télévision française par l'ORTF.

Outre Grenoble, les jeux ont eu lieu dans les stations de sports d'hiver de Saint-Nizier-du-Moucherotte, Villard-de-Lans, Autrans, Chamrousse et L'Alpe d'Huez.

[Buc]

quelle honte ces jeux à Sotchi... Qui se laisse encore berner par les pseudo valeurs de l'olympisme??? pas les membres du CIO en tout cas...

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putain de cio de merde la chine et la russie quelle bande de nazes