Bon, comme presque tout le monde ici, j’ai été très agréablement surpris, pour ne pas dire scotché par ce Gigaton !
Arrangements, compos, batterie, prod : pour moi tout y est mieux que sur sur Backspacer, LB, même Avocado
Who ever said : j’adore, on est en terrain connu, mais que c’est bon. Le pont est sublime, chant à tomber, et là où d’habitude il dure 3 phrases et ça repart, cette fois ils prennent le temps et l’étirent comme il faut pour en faire une partie à part entière du morceau, terrible. Et Matt y fait admirablement monter la sauce, une fois n’est pas coutume
Superblood Wolfmoon : fan de ce morceau, mega patate, structure inhabituelle, chant génial, solo et pont au top, et comme déjà dit il s’enchaine Nickel avec la 1ère.
Dance of the Clairvoyants : conquis dès le début par la prise de risque au niveau instru, je trouve le chant excellent de À à Z, notamment sur couplets et pont. Et la gratte quoi ...
Quick Escape : quel titre bordel ... un groove qui me rappelle No Way de loin, avec Matt qui nous fait des ghost notes, mais que se passe t-il
? Toutes les parties de gratte sont top, cette basse et ce groove, le refrain, les chœurs, la batterie, les interventions de Mike ... espérons qu’elle soit incontournable sur les set lists de la tournée (si elle a lieu
) comme l’étaient Sirens, Lighting Bolt ou Mind Your Manners en 2018. Jeff bloody rules !!
Alright : superbe, et non sirupeux, grâce à ces arrangements au clavier et à la gratte tout en finesse et cette batterie beaucoup moins attendue que d’habitude ... Jeff rules again !!
Seven o’clock : très beau titre, arrangements encore méga chiadés (la E-Bow guitar de Mike ?) et mélodie d’une efficacité de ouf sur les couplets. Au début j’ai eu un peu peur sur le refrain mais je m’y suis fait ... et la reprise sur ce groove de basse et ces nappes de gratte, splendide. Mais je crains que ce soit un des 1ers titres dont je me lasse ... on verra à l’usure
Never destination : on est d’accord, sûrement le maillon faible du disque, trop déjà entendu, riff basique (limite elle m’evoque Backspacer, c’est pour dire), et en plus elle traine en longueur ...
take the long way : le bon morceau en 3/8 (je crois) de Matt, je le trouve vraiment bien après plusieurs écoutes, à mon avis il est desservi par sa position sur le disque, il serait après une lente l’impression serait différente je crois. Couplets, refrains, pont, solo, j’adhère grave !
Buckle up : le morceau fraîcheur de l’album, quelle réussite, ce chant angélique avec ce gimmick de guitare, et l’accompagnement, là encore, subtil (!!) à la batterie, guitare de Mike .. et c’est moi ou c’est un kazoo vers 2´00 ?
Come Then goes : justement quand je me disais qu’un peu d’acoustique pur, ou à défaut un morceau sans batterie, serait bienvenu, celle ci qui déboule. Chapeau sur le son de gratte comme disait Ben Hype, ça sonne d’enfer. Mélodie pas forcément immédiate et c’est tant mieux pour la longévité du morceau !
Rétrograde : intro (12 cordes ?) et première ligne de chant, on se croirait direct sur Into The wild. Très bien arrangé, mélodie imparable, mais suis pas totalement séduit, même crainte que sur Seven O Clock.
River Cross : l’effet inverse à Sleeping by myself, qui avait du charme par Eddie en solo, mais dont la version de PJ avait tué l’intérêt du morceau (merci BOB
!). River cross, écoutée 2 fois sur les lives solo d’EV, ne m’avait pas bcp marquée ... mais là, cette version, pour moi, est magique, accompagnement batterie super bien dosé (tellement loin d’un boum Tchack qui l’aurait ruinée), chant impérial qui se marie parfaitement à l’orgue (son grand retour, après Indifférence !!
Ou j’en oublie ?)
Et puis, sympa d’avoir ces petits sons aussi qui relient tous les morceaux entre eux ! Et pas de fuckin’ fade out non plus !
Paris 2000, Montréal 2005, Lisbonne x2 2006, Marseille 2006, Paris 2006, Nijmegen 2007, Werchter 2007, Arras 2010, Amsterdam 2 2012, Copenhague 2012, Amsterdam x2 2014, Milan 2014, Berlin 2014, EV Anvers 2017, Cracovie 2018, Barcelone 2018, Paris 2022, Amsterdam 2 2022