Publié : Mer Mai 03, 2006 11:02 pm
merci
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mike baroud a écrit :je l'ai lu y'a qques temps, c'est terrible
je vais aller me prender les conseils de jez ... histoire d'approfondir cet auteur
Tout commence par une photo désormais célèbre : celle de trois fermiers sur une route de campagne, prise par August Sander à la veille de la Première Guerre mondiale. Pourquoi cette photo obsède-t-elle tant le narrateur, depuis qu'il l'a vue par hasard dans un musée de Detroit ? Peter Mays, un jeune journaliste, saura-t-il quant à lui percer l'énigme de son étrange ressemblance avec l'un des personnages ? Qu'est-il advenu enfin de ces trois jeunes hommes ? De l'Europe dévastée par la guerre, où nous suivons les pérégrinations tragi-comiques des fermiers, jusqu'à l'Amérique contemporaine, Richard Powers se livre au jeu des destins croisés et contrariés, convoquant au passage quelques grandes figures telles que Henry Ford ou Sarah Bernhardt.
Dans la prison d'État de Californie, à San Quentin, Darrell Standing s'apprête à être pendu. Il y a huit ans, alors professeur d'agronomie à l'école d'agriculture de Berkeley, il a été condamné à perpétuité pour crime passionnel. Sur les huit années d'incarcération, il a passé cinq ans dans les ténèbres d'un cachot, surnommé la "mort vivante". Victime d'une dénonciation calomnieuse, il est maintenant condamné à mort. En attendant l'heure fatale, il s'évade au gré de son imagination dans le passé. Il se voit ainsi au coeur du Paris de Louis XIII sous les traits du comte Guillaume de Sainte-Maure ; comme enfant rescapé d'une caravane de pionniers massacrés par les Indiens ; en marin anglais marié à une princesse coréenne du XVIe siècle ; comme matelot viking bientôt reconverti en centurion de Ponce Pilate au moment du procès de Jésus ; en homme des cavernes à l'aube de l'humanité. Passant du réalisme au fantastique, de l'univers monotone et exigu d'une geôle aux rebondissements émaillés de prodiges, Le Vagabond des étoiles est à la fois un procès contre l'univers carcéral et un hommage à l'imaginaire. Considéré comme son dernier acte de militant socialiste, comme son testament littéraire et philosophique (Jack London meurt un an après la parution de son livre), c'est aussi l'un des chefs-d'oeuvre de l'auteur. --Céline Darner
SDM
Les vies antérieures d'un condamné à mort: légionnaire romain, pirate viking, naufragé sur une île déserte, etc. Une "fable violente" et un roman-brulôt dans lequel Jack London règle ses comptes avec le système pénitentiaire, "chien de garde de la société capitaliste" (cf. la préface, p. 9-28) dans laquelle Lacassion note qu'en "passant du réalisme au fantastique, le récit ne perd rien de sa capacité d'émouvoir".
Samoa a écrit :Hey ! Cool que ça te plaise, c'est bien déjanté comme bouquin.
le cycle d'Elric de Michael Moorcock Twisted Evil Cool Razz
STEPHEN CLARKE A year in the merde
"They do eat a lot of cheese, some of which smells like pigs' droppings.
They don't wash their armpits with garlic soap.
Going on strike really is the second national participation sport after pétanque.
And yes, they do use suppositories.
In is first novel, Stephen Clarke gives a laugh-out-loud account of pleasures and perils of being Brit in France.
A year in the merde tells you how to get served by the grumpiest Parisian waiter;how to make amour-not war;and how not to buy a house in the french countryside."
voilà pour le résumé (du bouquin) rien trouvé de plus en français...mais franchement excellent, drôle, cynique et tellement vrai.
bref je le recommande chaudement
Parry n'a pas tué. Mais les apparences sont contre lui et le luge le condamne à la détention perpétuelle.
Mal nourri, sans femme, sans gin, sans foyer, loin des lumières étincelantes, des foules et de tout, ce qu'il aime, il ne lui reste plus qu'à attendre la vieillesse en contemplant les barreaux de sa cage.
Mais il refuse de se soumettre et s'évade, engageant une bataille désespérée et solitaire contre le destin, contre la peur, contre les flics et les mouchards, contre les maîtres chanteurs et les bons citoyens.
Source : Gallimard
strummer a écrit :boris vian l'écume des jours