waaa coton le suivant!
Les apparences sont trompeuses
Il ne se sent pas chez lui, il est un peu dépassé
Et tous ces mots s’enfuient, rien à voir avec ton poème
Absorber, absorber, on ne dirait pas de la méthadone
Une voix grinçante toute seule, rien à voir avec ton baryton
Les apparences sont trompeuses, le peu qu'il ait besoin, c'est son foyer
Le peu qu’il voit n’est pas ce qu’il cède, c’est son foyer
Un chromosome intrus, une couverture comme l’ozone
Les apparences sont trompeuses, le peu qu'il ait besoin, c'est son foyer
Le peu qu’il libère n’est pas ce en quoi il croit
Economiser un jour ensoleillé, quelque chose peut-être à deux tons
De qui se moque-t-on? Jour pluvieux, un ticket simple pour la pierre tombale
Des occupations renversées, un murmure dans un mégaphone
Les apparences sont trompeuses, le peu qu'il ait besoin, c'est son foyer
Le peu qu’il voit n’est pas ce qu’il cède, c’est son foyer
Et tout ce qu’il libère, un peu amer, c’est son foyer
Les apparences sont trompeuses, le peu qu'on voie, c'est son foyer